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The Woman With The Severed Side— un film de Jayne Amara Ross /



Les ombres que la cinéaste rend à leur épaisseur permettent de comprendre l’expérience physique du déchirement. The Woman with the Severed Side marque l’irruption de la douleur dans l’image-même. Peut-être aussi du désir et de la solitude - toutes ces saisons du corps féminin. On remarque l’admirable facture de l’œuvre dans son ensemble : la jeune cinéaste rend hommage au cinéma muet, aux contrastes expressionnistes, à la création sur le support argentique. La trajectoire de Jayne Amara Ross éclaire le parcours unique de ceux qui résistent à la déferlante économique du numérique. L’exigence esthétique d’une artiste aussi jeune et rigoureuse provoque notre admiration, sachant qu’en outre les films se nourrissent d’une profonde culture et ustesse poétique. Gabriela Monelle (Culturopoing, Juin 2011)

Ce film a aussi été projeté en tant qu’installation vidéo intitulée ‘A Stitch In Time Saves Nine... But Love is Aldready Too Late’.


A study of the physicality of pain. A waggish nod to the FatherFang of German horror, the woman drag queen. ‘In The Woman with the Severed Side, pain irrupts into the frame, along with desire and solitude, all these seasons that the female body must surrender to. It is hard not to notice Jayne Amara Ross’ incredible skill here, the young film-maker’s strict use of celluloid and hands-on techniques betraying an esthetic rigour that is rare and admirable in an artist of her age.’
Gabriela Monelle (Culturopoing, June 2011)

This film has also been shown as an installation piece entitled ‘A Stitch In Time Saves Nine... But Love is Aldready Too Late’.

Année
2006
Nationalité
France
Durée
00:16:00
Format de projection
Fichier Quicktime


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